Comment Est-Ce Que Je Détermine L'urgence Ou L'importance D'une Activité? (french)
Essay by people • January 21, 2011 • Essay • 1,978 Words (8 Pages) • 3,411 Views
Essay Preview: Comment Est-Ce Que Je Détermine L'urgence Ou L'importance D'une Activité? (french)
2.1- Analyse critique
Comment est-ce que je détermine l'urgence ou l'importance d'une activité?
J'ai tendance à définir les taches effectuées selon son urgence (ou importance) réelle ou ressentie. Il se trouve parfois que les deux peuvent se rejoindre, ou au contraire que son caractère ne soit qu'un ressentit de ma part et ne représente pas nécessairement (Après une analyse objective) une réelle urgence (ou importance). Dans ces cas-là et comme les exemples suivants vont le démontrer je fais référence à certains patterns qui me sont récurrents.
Mes définitions de l'urgence des tâches me semblent correctement définies. Par exemple dans le cas d'actions comme se rendre à l'université pour assister au cours de marketing l'urgence de la situation répond à une nécessité clairement définie : pour ne pas être en retard dans le but d'assister au cours il faut que je parte de mon domicile un quart d'heure avant. L'urgence de la situation correspond ici à une nécessité réelle. De même que la plupart du travail scolaire comme la préparation des cours ou les travaux de groupe. Néanmoins, j'ai largement tendance à tous les considérés comme urgent et important cela indique soit que mon organisation est à revoir, car j'effectue ces tâches à chaque fois dans l'urgence, soit que je m'impose une pression importante inutilement. Dans les deux cas, un rééquilibrage me parait essentiel.
D'autres activités comme le fait de jouer sur mon ordinateur ou de lire de passer la soirée avec des amis dans un bar ne sont pas urgentes et elles ne souffrent pas (trop) d'un éventuel retard.
A contrario j'ai tendance fortement prononcée pour qualifier la majorité des tâches que j'effectue comme importante, particulièrement dans les cas de mes lectures personnelles, roman ou d'actualités financières. Dans ces deux cas, bien qu'il s'agisse d'une part de moment de détente et d'information qui m'est utile, l'importance que j'accorde à ces deux activités me semble surévaluée. Je n'ai pas besoin de me tenir informé des cours des bourses, de l'actualité financière et internationale pratiquement quotidiennement.
Deux fois par semaine suffiraient amplement. Il s'agit la d'une habitude prise lorsque j'étais conseiller financier et qui était nécessaire et utile, habitude dont je ne me suis pas défait depuis.
Quelles sont les activités pendant lesquelles j'éprouve du plaisir et de la satisfaction?
Les activités dans lesquelles j'éprouve le plus de plaisir sont mes lectures personnelles (roman et ouvrage traitant de fait historique) ainsi que les moments passés en compagnie de mes amis. Mais cela s'explique naturellement, car il s'agit de périodes qui comblent mes besoins de détentes et d'évasion, mais qui n'ont pas vocation à trop se multiplier sous peine de voir s'amoindrir le plaisir et la satisfaction que j'en retire.
Les autres activités concernent le temps passé à m'entrainer au PEPS , ce qui m'apporte un équilibre nécessaire (cela me permet de mieux gérer mon stress et d'obtenir une meilleure qualité de sommeil) ainsi que la plupart de mes cours, des travaux de groupes, à l'exception notable du cours d'aide à la décision qui engendre plus de frustration que de satisfaction.
Il est à noté que je retire plus de satisfaction que de plaisir pour certaines taches comme aller m'entrainer au peps ou certains travaux, cela signifie que j'apprécie le bénéfice que je retire de ces actions (détente, connaissances ,et un certain sentiment d'accomplissement ) mêmes si ce ne sont pas ces activités qui m'apportent le plus de plaisir.
Est-ce que j'ai optimisé mes périodes de haut ou de faible rendement ?
Après avoir étudié mon emploi du temps, je pense que c'est incontestablement le secteur ou je devrais m'améliorer le plus. En effet la plus part mes travaux (recherche lectures liées aux différents cours, exercices) sont effectués dans l'après-midi ou en début de soirées alors que la période ou je suis le plus efficace se trouve être entre 21h et 2h du matin. Cela s'explique pour deux raisons : la première est que le soir je suis nettement moins sujets à d'éventuelles distractions (colocataires ou amis venant discuter, etc.) et la deuxième est que dormant assez peu (4 à 5 heures par nuit) mon pic d'activité et d'attention se situe à ce moment de la journée.
C'est d'ailleurs le rythme que j'avais adopté quand je poursuivais mes études en France. Je devrais donc replacer mes lectures personnelles ainsi que mes courriels en milieu d'après-midi et début de soirée et étudier le soir afin d'être plus efficace et de renouer avec un modèle qui m'a réussi dans le passé.
La raison pour laquelle j'ai rompu avec mon modèle d'organisation précédent est que je suis venu poursuivre mes études à Québec ce qui m'a amené a changé un certain nombre de mes habitudes. Les périodes de ma vie où j'ai expérimenté les plus hauts degrés de rendement étaient quand j'étais sous pression, cela me permet d'avoir de bon niveau de concentration, d'être plus motivé, mieux organisé et de travailler pendant de plus longues périodes.
À quel point ai-je fait le travail des autres sans recevoir de reconnaissance ou, au contraire, à quel point ai-je fait perdre du temps aux autres?
J'essaye de mettre un point d'honneur à ne pas faire perdre de temps aux autres, car dans les travaux de groupes nous ne sommes pas les seuls par définition à être impactés par d'éventuelles déficiences ou retard. De même, j'estime que si l'on poursuit une maitrise c'est que l'on possède la volonté de fournir une certaine quantité de travail, sinon c'est que l'on n'est pas à sa place ou que nos ambitions dépassent notre volonté donc chacun se doit de faire la part
...
...