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Multinational

Essay by   •  February 18, 2016  •  Course Note  •  7,786 Words (32 Pages)  •  1,143 Views

Essay Preview: Multinational

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29 janvier 2016

Résumé de l’interview :

Les marchés clés. Par exemple, avec les produits électroniques, le marché clé était les États-Unis. Pourquoi c’est un marché clé? (1) grande population (2) demande sophistiquée, les clients chalengent les compagnies pour développer de nouveaux produits (3) il y a des brevets. Dans un marché clé essentiel, on développe des bases pour aller se développer ailleurs. Les Japonais se sont servis des États-Unis pour s’épanouir à l’internationale. Même les entreprises canadiennes doivent identifier les marchés dans lesquels elles vendront et distribueront leurs produits.

Nombreux pays supportent leurs multinationales. Au Canada, on parle d’un libre marché, mais dans la Corée du Sud, au Japon ou dans d’autres économies telles en Chine, le gouvernement subventionne indirectement les entreprises. Dès lors, les règles du jeu ne sont pas justes pour toutes les entreprises.

La seule manière d’évoluer est souvent de changer et de s’adapter à l’environnement. Il faut regarder ses forces telles que la technologie et il faut les exploiter de sorte à augmenter l’atteinte de revenus. Il faut créer des stratégies. Il y a des divisons en ce qui a trait les produits mais aussi des divisions géographiques. Du coup, on a une matrice globale (composée du terrain géographique et des produits). L’ancien PDG de Sony utilisait une approche globale. Au delà de cela, les managers n’aiment pas le changement. Si on veut faire bouger les choses, les gens continuent à fonctionner de

À retenir : Retaliation, Œil pour œil, dent pour dent.

27 janvier 2016

Résumé de l’article :

Question première : Les compagnies peuvent-elles s’affirmer toutes comme des multinationales parce qu’elles ont un chiffre d’affaires important provenant de leurs opérations à l’étranger?

  • Firme A : distribution de leurs produits dans environ 100 pays, possède leurs manufactures dans environ 17 pays, ont des sites de R&D dans 3 pays, utilise le même critère pour investir dans des nouveaux projets qui doivent être autant nationaux qu’internationaux Ici, la firme se centralise énormément sur le côté américain.
  • Firme B : 1 % seulement du personnel de l’alliance n’est pas national, la plupart d’entre eux sont des exécutifs américains avec des contrats temporaires et le directeur de la multinationale se loge dans la localité nationale Ici, on a un manque de richesses au niveau des ressources. Il y a des lacunes au niveau du partage local. 
  • Firme C : la division de produits entraine une responsabilité internationale, les États-Unis, l’Europe, l’Amérique latine et l’Afrique sont des pays qui font partie de leur division de produits exécutive.
  • Firme D : possède des dirigeants de firmes de 18 nationalités différentes, les directeurs parlent au moins deux langues et 30 % du personnel se compose d’étrangers
  • Être une multinationale est quelque chose de prestigieux. L’aspect culturel est de mise pour s’adapter aux différents chefs exécutifs et aux employés qui seront engagés. De plus, elles sont dirigées vers le futur qu’il soit à court, moyen ou à long terme.  En comparaison avec des firmes nationales, elles doivent être davantage dynamiques et progressives. Dès lors, elles doivent miser sur les différents aspects qui constituent une bonne gestion de leur organisation voire les critères d’appartenance et de possession, l’organisation culturelle, l’origine et la nationalité des chefs exécutifs, le pourcentage d’activité transnational ou international.
  • 2 hypothèses (1) le degré de multi nationalité est corrélé au développement économique mondial des firmes multinationales et leur probabilité de succès.
  • Corrigé (2) les MN sont une nouvelle forme d’institution avec une nouvelle structure sociale
  • Arguments des 4 firmes nationales :
  • A. Le critère de multiculturalisme qui comprend la possession et le nombre de cultures ne sont pas suffisants.
  • B.  Les mesures externes et quantifiables telles que le pourcentage d’investissements à l’étranger IDE sont utiles mais ne sont pas nécessaires.
  • Dans cet article, les 4 firmes se caractérisent telles des multi-nations et sont concentrées sur elles-mêmes mais sur le monde externe.
  • Pourquoi les compagnies aiment avoir l’image d’être un FMN? Premièrement, c’est une perception qui est positive aux yeux des gouvernements. C’est aussi un certain prestige qui permet une viabilité à long terme. C’est valorisé par les pays parce que cela apporte des emplois. Prestige, dynamisme, progressiste, associé à long terme à la profitabilité, à la puissance, nouvelle institution du 20ième siècle associée légitimée et valorisée par les pays.

Question deuxième : Pourquoi veut-on être une multinationale véritable selon Perlmutter?

  • Selon lui, les MN ne doivent pas être considérées comme des entités homogènes.  Elles se distinguent par leur plan de stratégie de développement mondial mais aussi sur le plan
  • 4 types de FMN :
  • La multinationale ethnocentrique dans laquelle toutes les décisions stratégiques sont guidées et influencées par la culture, les valeurs clés et les intérêts de la maison mère et qui est donc caractérisée par un fort pouvoir du siège. En opposition, on trouve la multinationale polycentrique dans laquelle les décisions stratégiques sont adaptées pour suivre la culture du pays hôte et pour laquelle la connaissance du management local est considérée comme préférable. La multinationale géocentrique, quant à elle, cherche à intégrer les filiales dans une base mondiale à travers une approche de prise de décision globale, les filiales ne sont pas considérées comme des satellites ou des entités indépendantes mais comme des parts de l’organisation dans son ensemble. La multinationale régiocentrique se rapproche du modèle géocentrique mais à l’échelle d’une région.
  • - Géocentrique, en ce qui concerne la volonté d'intégrer les régions dans un système global de prise de décision (cf. les comités consultatifs et la constitution des équipes-projets) ; seule ombre au tableau : la mobilité internationale, souhaitée par les cadres, n'est pas encore très développée.
  • - Régiocentrique, puisque la division du monde s'est faite à partir de régions homogènes. On y trouve un siège mondial, des sièges régionaux et des filiales nationales. Le contrôle et l'évaluation des unités nationales s'effectuent au niveau régional (salaires et bonus des responsables nationaux sont souvent gérés par la direction régionale) ; la mobilité des cadres existe entre filiales de la même zone : responsables de la Pologne et de la Grèce, parmi d'autres.

Question troisième : En fonction des attitudes des managers et l’orientation des firmes, qu’est-ce que l’orientation «ethnocentrique» (home country oriented)?

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